J'étais à coté de mon mari, à la place passager de son X6 flambant neuf. Je me suis regardée dans le miroir du pare-soleil. Je me trouvais jolie. Assise comme je l'étais, ma robe courte remontait haut dessus du bandeau de dentelles de mes bas tel le voulait Alain.

Alain est intelligent, sensible, il s'occupe merveilleusement bien de moi et grâce à lui, je n'ai plus besoin de travailler. Je me suis promise de m'offrir totalement à lui. J'accepte tout ce qu'il exige de moi. Je lui suis soumise et docile je ne dis jamais non. C'est ma façon de lui rendre tout ce qu'il m'offre de bonheur et de sécurité. Ce soir-là, Alain voulait que je fasse l'amour avec d'autres hommes devant lui. Il voulait me livrer à eux, que je me prête à toutes leurs exigences, que je sois la plus exquise des salopes. Ces hommes n'allaient me posséder qu'un instant alors que je resterais éternellement à la disposition de mon mari.

Donc, nous entrons dans un parking. Il stationne sa voiture et m'ouvre la portière. Il m'embrasse et me dit :

« Michèle, tu peux refuser de faire ça pour moi. Mais si tu le fais, rends moi fier en exécutant tout ce qu'ils te demanderont. »

« Je suis à toi mon amour et je ferais ce que tu veux ! »

« OK ! Alors enlèves ta robe ! »

Je ne porte plus que des chaussures à talons et l'ensemble complet de lingerie qu'il avait acheté pour moi la veille.

C'est là que je vois des hommes arriver vers notre voiture. Ils forment un cercle et mon homme me place au centre. Alain passe derrière moi. Il m’embrasse dans le cou puis glisse ses mains sous mon soutien-gorge. Je ferme les yeux. Il tire mon soutien-gorge vers le bas pour faire jaillir mes seins et il les empoigne. Il les malaxe un instant puis il saisit mes tétons et les étires. Mon mari vient devant-moi. Il sort une couteau de sa poche et coupe ma culotte et mon soutien-gorge. Il les jette négligemment au sol. Je me retrouve nue devant ces inconnus juste avec mes bas et mes porte-jarretelles. Alain se retourne et leurs lance :

« Messieurs, elle est à vous ! Faites-en ce que bon vous semble ! Mais ne l’abîmez pas ! »

Alain sort du cercle pour mieux observer le spectacle alors que les hommes autour de moi approchent telle une meute assoiffée de sex. Je ferme les yeux. Je sens une main se poser sur mon ventre avant d’être imitée par d'autres. On touche mes seins, mes fesses, mes cuisses. Une langue f o r c e mes lèvres. On pince les tétons. Je ne sais pas combien de temps cela dure. L'un deux me demande :

« T'aimes sucer salope? »

Je fais un hochement de tête pour répondre et deux mains me f o r c e à m'agenouiller. Un sexe trapu me f o r c e alors la bouche. Je me met à sucer cet inconnu.

Je pense aux recommandations de mon mari et je fais de mon mieux pour satisfaire ce premier partenaire en m'imaginant qu'Alain me regarde. Il semble ravi mais bientôt deux autres compères veulent goûter à ce plaisir aussi. Maintenant, trois queues alternent les allée et venues dans ma bouche.

Cette folie n'est pas uniquement un sacrifice. car, j'avais souvent eu envie de vivre une expérience extrême. Alain était en train de me permettre de réaliser ce fantasme. Autour de nous, les types se déplacent sans cesse, cherchant le meilleur angle pour m'observer et ne rien perdre du spectacle. Il prennent des photos et des vidéos avec leurs portables. Des doigts investissent ma chatte trempée. Je suis dans un mélange de peur, d'excitation et de honte. Je tends ma croupe et me cambre pour être la salope idéale comme mon mari l'avait demandé. Je ne proteste pas non plus lorsqu'un doigt inquisiteur vient me masser la rosette.

Alain avait-t-il imaginé que ces hommes s'intéresseraient à mes fesses et cela dès le début ? Il était trop tard pour lui poser la question. Je ne pouvais me raccrocher qu’à ses consignes. Alors je creuse mes reins encore plus pour m'offrir à cette caresse dégradante.

« Farid. Je crois qu'on va vraiment s'amuser avec cette pute de bourge ! Elle est chaude et ouverte. »

La caresse continue, je me mets à onduler sous ces doigts inquisiteurs.

« T'aimes vraiment ça putain. T'as envie qu’on te doigte le cul et qu'on en mette une grosse ? »

Les mots de mon mari me revinrent encore une fois.

« Sois le fantasme qu'ils auront pour le reste de leur vie ! »

Alors je fais oui de la tête en continuant à tendre ma croupe. Le type derrière moi couvrit sa queue de salive. Il place son gland contre ma rondelle alors qu'un autre larron m'écarte les fesses. Je me mords les lèvres en miaulant lorsque le gland pousse et commence à pénétrer mon anneau. Les yeux des hommes autour de moi brillent comme ceux de gamins devant une vitrine d'une confiserie. J'ai l’impression de maîtriser ma luxure.

Mes amants changent de place, alternant les rôles. Je m’offre de mon mieux. Mais, ils décident qu'ils vont me pénétrer à trois. Je geins, je crie, fais, des non, des oui, des doucement, des plus fort parfois. J'ai deux queues dans la chatte et une dans le cul alors qu'un quatrième me bâillonne avec sa queue. Le contact du gland contre mes muqueuses me fait frissonner. J'ouvre la bouche en grand pour tenter de hurler lorsque ces trois queue me démontent. La verge que je suis en train de sucer plonge dans ma gorge à m'en étouffer. Pour la première fois je suis prise de panique. Les trois types s'activèrent dans ma chatte et mon cul. Je ne peux plus respirer avec cette queue qui f o r c e la gorge. J'ai l'impression que je vais vomir et que mes chairs se déchirent. Je veux me débattre. Je commence même à trépigner et me cabrer pour m'échapper.

Je fais de mon mieux pour supporter ces minutes de folies. Les lascars alternèrent les rôles. Pour mon malheur ou le plaisir de mon mari et le mien un peu, ils sont endurant. Ils me partagent et échangent leurs place dans mes trous distendus. Je ne savais plus qui me fait quoi. Je ne plus qu'un trou à bites. Où est la bourgeoise friquée ? Seul comptais le fait d'être la parfaite chienne qu'Alain désirait voir.

J'arrivais à peine à ne pas m'affaler sur le sol et je criais tellement il me faisait mal. Malgré cette situation de v i o l consentit, mon ventre est pris de spasmes irrépressibles. Mes yeux se révulsent et ma bouche laisse s'échapper autant de salives que de sonorités étranges. Un orgasme inouï me terrasse.

« Qu'est-ce qu'elle est bonne cette salope! A quatre pattes comme une chienne la bourge ! »

J'obéis et m'attende à être baisée rageusement dans cette nouvelle position.

« Cambre toi bien salope ! »

Ils se masturbent au-dessus de moi et éjaculent en se déversant sur mon cul encore ouvert. C'est extrêmement humiliant mais je joue le jeu et je les laisse faire en sentant leur sperme couler sur mes fesses et mes cuisses. Lorsqu'ils ont fini, je me sens dégoûtante et collante. Alain s'approche et prend ma main pour m'aider à me relever.

Alain en me raccompagnant à la voiture, pose ses lèvres sur les miennes encore engluées de sperme et caressant mes cheveux me murmure :

« Tu as été une bonne chienne. Je t'aime. Viens. On s'en va. »

michelemimi